Bonjour! Je m'appelle Emmanuel De Vonshire mais mes amis me surnomment Manu ou Em'. Je suis né(e) à Londres le 17/10/1762 et de ce fait j'ai donc 350 ans. Côté coeur, je suis Divorcé, sachant que mon orientation sexuelle est Homosexuelle. J'appartiens au groupe écrire ici. Je suis un personne Soumise, trait de caractère, trait de caractère, trait de caractère; mais aussi trait de caractère, trait de caractère, trait de caractère, trait de caractère.

La vie est un cadeau précieux. Quelque chose qu'il te faut garder précieusement comme le trésor le plus majestueux que tu possèdes. La vie n'est pas un jeu non bien au contraire c'est plus que cela une fois que tu as suffisamment d'expérience pour comprendre. Inutile donc de perdre ton temps précieux avec des êtres qui n'en valent pas la peine. Marche ton destin est encore loin devant toi. Attention de ne pas tomber cars tomber fait mal. Redresse toi Emmanuel il le faut tu as encore tant à apprendre. Tant de choses a découvrir...

Pas plus haut que trois pommes, se tenait dans le jardin extérieur de la maison un petit garçon. Brun le visage pâle ses yeux sombres n'enlevait rien à son charme déjà pré causse. Il attendait sagement, assis sur le rebord de la fontaine quelqu'un. Lisant un répertoire de partition de Beethoven. Étudiant minutieusement chacune des notes comptant les tons avec soins. Son doigt frappait minutieusement le rythme sans que rien puisse interrompre sa course folle. Puis un petit sifflement ce fait entendre au loin les feuilles d'Automne tombant à terre. Je redressais la tête observant avec soins l'autre petite touffe brune qui s'échappait du buisson murmurant son nom : « ...Manu ... Manu dépêche ils vont te voir ... viens j'ai quelque chose d'intéressant à te montrer. » Curieux comme je l'étais à cette époque. Je déposais délicatement mon livre sur le bord en pierre puis vérifia un instant près du salon avant de prendre la poudre d'escampette partant après mon cousin à vive allure à travers les champs voisin. Ce dernier conduisait me conduisant dans une foret peut épaisse mon cousin dégageait des branches afin de me laisser voir la renarde et ses petits puis Aiden dit tout bas : « - si nos pères la voie on peut être certain qu'elle ne passera pas le printemps. » Les larmes commencèrent si tôt à venir me laissant avoir par l'émotion je dis sous l'effet de la panique : « J'veux pas Quelle meurt ses petits encore moins ... »La situation était la même pour Aiden , mais que faire. S'approcher d'elle était trop risquée ,mais elle avait battit son cocon bien trop prêt des habitations et dès mon plus jeune âge je connaissais assez bien les dégâts de la chasse. « Demain nous prendrons de la nourriture. On la conduira hors de son nid est ont la fera faire traverser la rivière. » Aiden avait toujours les bonnes idées. Mon visage ce ralluma aussitôt. La nuit commençait à tomber nous n'avions guère le choix de rentrer , mais je savais que demain serait une nouvelle grande aventure en compagnie de mon presque-frère de toujours Aiden....

Un jour gris un jour humide que personne n'aime est pourtant moi si. C'était un temps à la composition un temps pour rêver. Mes doigts glissaient avec soins sur les notes noires et blanches du piano que ma mère détenait de sa grand-mère. J'avais beau à fouiller dans mes souvenirs, ce piano avait toujours été là. Telle une sentinelle gardienne des temps anciens. S'il pouvait parler je suis certains que son discourt durerait des heures. Comme ceux de Père. D'ailleurs il était en retard, Monsieur Donovan devait le retenir. Je soupirais puis le regard perdu je fixais la pluie qui tombait en silence sur les vitres de la maison familiale. Une maison pas bien grande, mais assez pour que l'on nous considère comme d'honnête personne. Père arriva finalement à la tomber de la nuit. Mère dormait a présent puis je le rejoints. Calme, inexpressif puis je trouvais alors le courage de m'adresser à lui : « Père, j'ai trouvé du travail pour pouvoir financer mes études de médecin. Je sais que cela coute cher est ... » Mon père se tournait alors vers moi m'adressant un de ses regards à vous glacer le sang. Mon coeur s'emballait à tout rompre. Je m'attendais au pire. Il ne m'a jamais apprécié alors pourquoi ferait-il quelque chose d'honorable en ma faveur ? A quoi m'attendais-je avec lui ? Toutefois, la curiosité s'emparait de mon être la mêlant à une certaine crainte dut à l'enfance : « - Je vois que ton idée trotte toujours derrière la tête. Bon sang Emmanuel tu es un garçon brillant pleins de bonnes qualités. Pourquoi te perdre à tort et à travers dans la Médecine alors que tu ferais un excellent banquier. Tu aurais une bonne situation est ... » Visiblement il ne m'écoutait toujours pas. Encore une fois il n'en faisait qu'à sa tête. Etait-ce bien mon père cet homme sourd et incompréhensif. La tristesse me nouait alors le coeur sans réfléchir je rétorquais : « - Je me moque éperdument d'être banquier. Ce que ... ce que j'aimerais moi c'est aidé les gens. Dehors des personnes souffrent et monsieur Donovan reste la à fermer les yeux. Vous pouvez ... Moi pas. Il faut que cela cesse que ... » Le geste fut si violent que je ne le vit pas venir. La main droite de mon père claquait alors sur ma joue m'arrêtant dans mon discourt.Je venais de franchir les limites, mon père était hors de lui, je savais qu'il n'aimait pas que je traite notre maitre ainsi mais c'était vrai. Pourquoi devrais-je me taire ? Il se redressait de tout son imposante stature puis m'annonçait : « - Quoi que l'on te dis, quoi que je fasse je sais que tu ne changeras pas d'avis. Tu veux devenir médecin très bien soit. Mais tu travailleras pour le compte de Monsieur Donovan sinon il n'en sera rien. Si quelqu'un peut financer tes études c'est bien lui. A présent file. » Décidement mon père me surprendrait toujours, il avait fini par accepter ma décision. Au fond de moi c'était le soulagement.... | U.C |

FICHE PAR ROMANE